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jeudi 5 décembre 2019

Une présentation en attendant la restauration qui va tout changer. 4. le lavage des livres.

https://restaurationlivreatroo.blogspot.com/2018/06/une-presentation-en-attendant-la_75.html

https://restaurationlivreatroo.blogspot.com/2018/06/une-presentation-en-attendant-la_2.html

https://restaurationlivreatroo.blogspot.com/2018/06/une-presentation-en-attendant-la.html

En reprenant les 3 articles précédents, vous comprendrez la problématique de ce livre.
C’est un travail qui est dans l'atelier depuis longtemps parce qu'il faut rassembler beaucoup de force et d'énergie pour le mener à bien, transformer une cuisine et un atelier-maison en une sorte de laboratoire et réaliser une opération délicate: Le lavage des pages.
Loin d'être systématique, cette opération de passage à l'eau des pages d'un livre demande beaucoup de précautions.
La prise d'une telle décision s'opère quand, malgré tout ce qui a été tenté, de façon mécanique et sèche (gomme, dépoussiérage au pinceau ...), le livre reste sale, taché et avec des problèmes de contaminations possibles de champignons, bactéries.
Les spores de champignons existent partout autour de nous, quand les conditions sont réunis, ils peuvent trouver dans le papier un substrat qui permet leur développement, et une fois que la germination a commencé ...
De même les bactéries ... le lavage d'un livre n’est pas une désinfection et, spores, bactéries restent présentes.
Pour en savoir plus, il existe ce document des Archives de Bruxelles:
Archives générales du Royaume rue de Ruysbroeck 2-6 1000 Bruxelles
http://www.arch.be/docs/brochures/brochure_moisissures.pdf



"LES MOISISSURES ADORENT… … L’humidité.
L’eau est le solvant permettant les échanges de substance avec l’environnement. La phase de germination des moisissures nécessite un apport d’eau plus important par rapport à la phase de développement ou de croissance.
À partir d’une humidité relative de 60-65%1 , il y a un risque de germination.
Une fois la germination enclenchée, le processus de développement peut se poursuivre à des taux d’humidité relative inférieurs à 60%.
La croissance de la moisissure ralentit aux environs de 30% d’humidité relative. Plus l’air 1 L’humidité relative (HR exprimée en %) correspond au rapport entre le contenu en vapeur d’eau de l’air et sa capacité maximale à en contenir.
Ce rapport changera si on modifie la température ou la pression bien que l’humidité absolue de l’air n’ait pas changé.
Ainsi, plus la température baissera, moins l’air sera capable de contenir de l’eau.
L’humidité absolue est définie pour l’air humide comme sa teneur en vapeur d’eau indépendamment de sa température (grammes de vapeur d’eau présents dans 1 kg d’air).

dissémination spore (état de dormance)
croissance du mycellium mycellium
sporulation
germination
Cycle de développement des moisissures

Plus l'air est chaud, plus il peut retenir de l’eau sous forme de vapeur.
Dans cet ordre d’idées la situation sera, par exemple, plus grave pour 65% HR si la température est à 22°C que si elle est à 15°C. …

La chaleur
La plupart des espèces de moisissures se développent dans une gamme de température comprise entre 4 et 40°C. La valeur idéale pour leur développement se situe entre 24 et 30°C. Des températures inférieures à 20°C ralentissent de façon sensible la vitesse de croissance et à 0°C les réactions biochimiques sont presque toutes arrêtées.
Le développement de moisissures résultera principalement de l’interaction entre une forte humidité et une chaleur élevée. …

Le papier
Dépourvues de chlorophylle nécessaire à assimiler le gaz carbonique atmosphérique, les moisissures sont saprophytes, puisant leur nourriture dans les matières organiques mortes ou plus ou moins décomposées.
Le carbone et l’azote sont des éléments nutritifs indispensables à leur développement.
Les composés minéraux, tels que le phosphore, le potassium, le magnésium et le soufre, sont également nécessaires en quantités très faibles.
La cellulose – et donc le papier – fournit la plupart de ces éléments. C’est pourquoi les moisissures se développent facilement sur ce support."
En comprenant que c’est l’humidité qui permet le développement des champignons ...
Un autre extrait de ce document:

"COMMENT REPÉRER DES MOISISSURES ?
Du fait de leur caractère microscopique, il est relativement difficile de repérer de façon certaine des moisissures sur un support. Or pour prévenir les dégradations qu’elles peuvent engendrer et y remédier, il est nécessaire de connaître leurs principales caractéristiques, leur mode de développement et de dissémination et les indices de leur présence.
La fragilisation du document L’altération physique d’un support telle qu’une frange ou quand les feuilles tendent à coller ensemble, constitue une preuve indéniable de présence de moisissures.

Les taches colorées
Les moisissures excrètent lors de leur développement des pigments pouvant colorer le papier. Les teintes peuvent être fort diverses, des couleurs neutres telles que le beige ou le noir jusqu’aux couleurs vives comme le rose, le pourpre, le cramoisi ou le jaune.
Une forme circulaire, de taille variable, présente de façon répétitive, est un indice supplémentaire.

La forme
L’aspect particulier de matière visible (poudreux, duveteux ou encore filamenteux) peut constituer un indice d’une éventuelle contamination.

L’odeur
Le métabolisme des moisissures produit une quantité importante de composés organiques volatils odorants tels les alcools, les aldéhydes et les cétones permettant de déceler des odeurs de « moisi » bien avant l’apparition des signes visibles du développement mycélien.

L’eau
La présence d’eau est un phénomène déclenchant la croissance et la germination de moisissures. Même si les traces sont visiblement anciennes, un développement a pu avoir lieu laissant une colonie morte mais des spores en dormance. Il est à cet égard intéressant de récolter des informations relatives aux problèmes qu’aurait connu le bâtiment, tels qu’une rupture d’une conduite d’eau, un bris d’une lucarne ou encore un refoulement d’égout."

                                                                      


Je me suis posée la question aussi de la pureté de l'eau de la maison, me servant de l'eau de robinet:
Un article de la revue que choisir explicite bien ce que la notion d'eau pure, notion trouvée dans un article sur les conséquence du lavage sur les écritures à l'encre ferrogallique :
http://www.bnf.fr/fr/professionnels/anx_actu_conservation/a.cn_act_num28_art1.html
Laver un livre est donc une décision difficile qui doit vous amener à repérer les éléments qui pourrait vous faire à regretter vivement cette décision: perte de texte, perte de papier, contamination future de bactéries, champignons en raison d'une humidité et d'un séchage mal maîtrisé etc .... Il est nécessaire de mettre en place un protocole d'atelier à suivre à chaque fois pour noter les résultats, et savoir quels sont les moments où l'action est critique sur quel type de papier.





Un article sur la façon de purifier votre eau. Au delà de ça, réfléchir sur la qualité de son eau est une bonne chose sans penser qu'on va forcément faire quelque chose de mal. On peut essayer de comprendre et de maîtriser au maximum les paramètres pour réduire le risque qui ne sera jamais absent quoiqu'on fasse.

Il existe plusieurs catégories de dispositifs de traitement de l’eau destinés aux particuliers. Ils ont chacun leur fonction. Revue de détails des matériels proposés et de leurs allégations.
SOMMAIRE 
1. Dispositifs les plus courants 2. Dispositifs moins répandus 3. Que penser des antitartres
DISPOSITIFS LES PLUS COURANTS

Carafe filtrante
La carafe filtrante est de très loin l’appareil de traitement de l’eau à domicile le plus répandu, il s’en vend plus d’1 million par an.
– Objectif : Les carafes filtrantes affirment supprimer le goût de chlore, éliminer le calcaire et le plomb.
– Fonctionnement : La carafe est équipée d’un filtre à charbon actif qui filtre l’eau du robinet. La cartouche se change régulièrement, toutes les 4 à 6 semaines selon les modèles.
Adoucisseur
– Objectif : L’adoucisseur lutte contre le calcaire.
– Fonctionnement : Le principe est simple, l’adoucisseur enlève le calcium et le magnésium de l’eau et remplace ces minéraux par du sodium. L’eau passe dans la résine qui retient les ions calcium et magnésium et libère en échange ses ions sodium. Une fois que tout le sodium est passé dans l’eau et que la résine est saturée de calcium, elle doit être régénérée, c'est-à-dire rechargée en sodium par une eau très salée. L’adoucisseur provoque une surconsommation d’eau à chaque opération de régénération et des rejets importants de saumure.
Osmoseur
– Objectif : L’osmoseur répond au mythe de la pureté de l’eau. Il enlève beaucoup d’éléments, y compris tous les minéraux.
– Fonctionnement : L’eau passe d’abord dans un filtre qui retient les éventuelles particules – des professionnels parlent même de « filtre à sédiments »(!) – puis dans un filtre à charbon actif qui capte notamment le chlore. Enfin, elle traverse une très fine membrane qui sépare l’eau pure de l’eau de rejet porteuse de ce qui reste d’éléments indésirables et de minéraux, et envoie cette eau dans le circuit des eaux usées. L’osmoseur consomme énormément d’eau : il en rejette en moyenne 4 litres pour 1 litre d’eau osmosée produit ! Cette consommation phénoménale est nécessaire pour éviter le colmatage de la membrane. Mais comme il peine à traiter l’eau dure, les installateurs recommandent parfois de s’équiper aussi d’un adoucisseur afin de faire entrer une eau sans calcium dans l’osmoseur.
Filtre sur robinet ou sous évier
– Objectif : Les filtres sont vendus pour éliminer des polluants et autres éléments indésirables : nitrates, pesticides, plomb, goût de chlore.
– Fonctionnement : L’eau traverse au moins une cartouche, parfois plusieurs, qui captent plus ou moins de polluants et d’éléments indésirables selon les modèles. Ces filtres n’agissent pas sur la minéralisation de l’eau, ils n’éliminent pas son calcium contrairement aux adoucisseurs et aux osmoseurs.


DISPOSITIFS MOINS RÉPANDUS

Antitartre (voir également notre encadré ci-dessous)
– Objectif : Empêcher les dépôts de calcaire.
– Fonctionnement : Il existe plusieurs procédés : magnétiques, électroniques, à billes de polyphosphates, à injection de CO2. Tous doivent empêcher le calcium de former des dépôts entartrants. Les modèles magnétiques et électroniques ne modifient pas la composition chimique de l’eau. Les rejets de polyphosphates sont, en revanche, polluants pour l’environnement.
Filtre UV
– Objectif : Le traitement par ultraviolets (UV) a pour fonction de détruire les microbes.
– Fonctionnement : Un premier filtre est installé, puis l’eau traverse un réservoir contenant une lampe qui émet des rayons UV et irradie l’eau. Ces rayons UV doivent agir sur les microbes mais ils ne modifient en rien la composition de l’eau. Ils n’ont aucun effet sur les substances indésirables ou polluantes.
Vivificateur
– Objectif : L’eau vivifiée « transmet une énergie vitale », selon J. Grander, son inventeur.
– Fonctionnement : L’appareil de vivification se fixe sur les conduites.


QUE PENSER DES ANTITARTRES:

Il existe plusieurs catégories d’appareils antitartre : on trouve notamment des aimants, des dispositifs électroniques, des anticalcaires à injection de CO2, d’autres à base de poly ou silico-phosphates. Nos analyses n’ont pas mis en évidence de diminution de la dureté, mais ce n’est pas une preuve d’inefficacité. Ces appareils, en effet, ne réduisent pas les teneurs en calcium et magnésium, les deux composants de la dureté, ils affirment empêcher la formation de dépôts calcaires. L’injection de CO2 a pour but de faire baisser le pH de l’eau, ce qui la rend moins susceptible d’entartrer, mais nous n’avons pas observé ce phénomène lors des analyses.
« Évaluer les dispositifs antitartre est complexe, confirme le Pr Jean Lédion, spécialiste de la corrosion. Pour prévenir l’entartrage, il faut éviter que l’eau puisse précipiter, c’est-à-dire déposer des particules de très petite taille sur les parois. Les traitements physiques (magnétiques ou électroniques) ne modifient pas la composition chimique de l’eau. Ils font passer l’eau dans des champs électromagnétiques ou électrostatiques qui modifient la taille des germes de carbonate de calcium pour les rendre non incrustants. Leur efficacité est réelle mais aléatoire, elle dépend des caractéristiques de l’eau et de l’installation intérieure de chaque client. Les antitartres chimiques autorisés en eau chaude sanitaire sont souvent efficaces car les ions phosphates sont des inhibiteurs d’entartage, tout comme les mélanges silicate et phosphates ; les polyphosphates, en revanche, peuvent agir sur la corrosion. Ces dispositifs provoquent des rejets de phosphates ou silicates. On trouve aussi des procédés dits physiques, magnétiques ou électroniques, mais qui sont en réalité chimiques puisqu’ils ont recours au cuivre ou au zinc. Quant aux adoucisseurs, ils peuvent se justifier sur une eau très entartrante, mais en limitant l’adoucissement à 15 °f pour éviter la corrosion. » Selon Jean Lédion, le circuit d’eau froide n’a pas besoin de traitement. Cette règle s’applique aussi au réseau de chauffage qui fonctionne en circuit fermé : s’il est bien conçu, le calcium précipitable s’y trouve en quantité très limitée, ce qui évite l’entartrage. Seul le réseau d’eau chaude sanitaire peut justifier un traitement antitarte.

Élisabeth Chesnais



https://www.quechoisir.org/decryptage-traitement-de-l-eau-les-differents-dispositifs-n1945/?fbclid=IwAR3vJJKdiiyKbwYASbRUWra9T172STTcUuLHZ
L_XAr7Xpj0fmddVLEykWyQ






"De la prudence dans les décisions dans la restauration.
Il vaut mieux s’abstenir que de vouloir faire à tout prix et de constater qu'on aurait mieux fait de ne rien faire ...

En l’occurrence, la décision est la bonne que de laver ce livre mais ...

Un exemple de ce que chaque décision est mûrement réfléchie avant de faire:
La photo montre des écritures à l'encre férrogalique.

C'est Véronique Rouchon qui a beaucoup étudié le phénomène, avec deux autres de ses collègues: ainsi on trouve sur le net, 
http://crc.mnhn.fr/IMG/pdf/testdufer-2.pdf
C’est toujours bien de voir qu'en 2019, les connaissances restent accessibles et remercier pour cela est une philosophie de l'atelier. 

Prendre la décision de laver un livre n’est jamais sans risque: on peut voir se déliter le papier sans que rien ne puisse être fait.
On peut voir des taches d'encre brune se détacher et laisser à la place des trous, avec perte de textes si c’est au milieu de la page.

Une des pages est particulièrement écrite.
Dans ce cas-là, nous prenons, avec Julie, la décision de ne pas laver cette page en raison de l’encre à base de fer et de noix de galle.
Dans l'eau que nous utilisons directement issue du robinet, quelle est la proportion de substances nuisibles à du papier?
Y-aura-t-il une réaction tardive en raison des traitements faits a l' eau pour la rendre potable et consommable?
Qu'en-est-il des résidus de médicaments trouvés à doses infinitésimal?
Du calcaire? En Loir et Cher sur un base de calcaire et d'argiles très forte, l'eau est une des plus dures de France.

On peut penser que ces éléments là sont anecdotiques dans un petit atelier qui n’est pas un laboratoire.
Le fait de s'équiper d'ionisateur ou dépollueurs (ultra-violet) d'eau est-il une solution envisageable et efficace, qui réduirait le risque de contamination, pouvant dans 100 ans faire, de notre beau travail de restauration, une misère, tout comme les produits et recettes qui circulent au 19 ème, lire l'enfer du bibliophile, et ont détruits manuscrits et incunables avec des recettes miracles.

La pureté de l'eau est-elle quantifiable?
Une eau déminéralisée est-elle envisageable dans un travail comme le notre sur un livre du 17 ème ayant déjà bien souffert et dont, à l’œil nu, nous vérifions le caractère beaucoup plus sain?

Chaque décision est une prise de risque avec des paramètres et il faut maîtriser chacun d'entre eux, au moins assez de paramètres pour ne pas risquer une déconfiture ...

Les conseils pour conserver ce livre sont évidents: pas d'atmosphère humide du tout, pas trop seche non plus.
Pas de poussières, 
le consulter régulièrement pour évaluer l'état du papier? qui pour certaines feuilles, est très critique.
Je vais devoir doubler avec un papier japon très fin, 3gr (papier de Jacques Lucas)

Il existe une notion qu'on appelle l'humidité relative, "mesure du rapport entre le contenu en vapeur d'eau de l'air et sa capacité maximale à en contenir dans ces conditions. Ce rapport changera si on change la température ou la pression bien que l'humidité absolue de l'air n'ait pas changé" (source wiki), qui doit se situer autour de 55 pour que tout soit en bonne santé chez vous, nez, bronche, peau, ... de même pour les matériaux ... bois, papier, cuir, tissu et donc livre.

Je n'ajoute rien à l'eau.
Une goutte de nettoyant PH neutre, très peu en fait.

L'action de l'eau chaude est déjà une action.
le pinceau, oui, à condition que le papier supporte l'action mécanique.
Éventuellement pour renforcer le papier un peu de tylose.
Pour un papier vraiment très faible.
le poser sur une feuille d’acétate ou un plexi, humidifier avec de l'eau en vaporisateur et passer tout doucement et de la tylose très liquide, laisser sécher à l'air libre.
La tylose doit être une solution très très liquide, pas d'amas ...

Le temps de trempage est également dicté par l'état du papier;
Ce qui demande une vigilance de tous les instants.

Depuis j'ai eu accès à cet autre lien:
Avec Laurent Cruveillier
https://irongallink.org/...

Enfin voici les photos.









Démontage du livre.



 Installation du bac de lavage



Mise à l'eau des pages.
Chaque page est sortie à l'aide d'un support en acétate.

Pose sur un buvard propre et sec.

Puis sur un second buvard propre et sec également.

Le tout à la fin de la journée sera mis sous presse en vérifiant régulièrement le niveau d'humidité.
Au besoin faire sécher à nouveau à l'air libre avant de remettre sous poids entre buvards secs et propres.
Il faut une quantité inconsidérée de buvards qui ne seront pas réutilisés en raison de la possible contamination par la présence de spores, de bactéries, par juxtaposition des surfaces entre elles.




Il faudra de toute façon contrôler régulièrement l'état du livre et ne pas l'enfermer dans une atmosphère close, où il ne respire pas, trop humide, trop chaude, sans air, confiné ...






2 commentaires:

  1. Ce blog et cet article en particulier sont vraiment passionnants. Merci beaucoup de partager tout cela!

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  2. Merci pour ce commentaire.
    Modestement je partage l'expérience de l'atelier avec toutes les imperfections que cela peut représenter parce que nous nous adaptons aux livres à faire in situ.
    Pas de labo, beaucoup de système D en essayant de respecter certains principes de bases de la conservation-restauration autant que faire se peut.
    Belle journée à vous!

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