Histoire de la gravure.

https://journals.openedition.org/sabix/945




Claude Gondard, « Les procédés de gravure », Bulletin de la Sabix, 47 | 2010, 5-11.

Dans de précédents articles, vous pouviez trouver des éléments pour vous aider à suivre le fil de l'évolution de la gravure.

https://restaurationlivreatroo.blogspot.fr/2016/06/les-arts-de-la-reproduction-la-fin-du.html

https://restaurationlivreatroo.blogspot.fr/2017/11/papillon-papillon-jean-michel-1698-1776.html

Il est demandé à tout relieur de savoir repérer quelles sont les techniques de reproductions des images qu'on lui apporte, que ce soit dans les livres ou en gravure estampe.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b55005657w

https://journals.openedition.org/sabix/943


Dans ces libellés là: Pour le CAP le minimum à savoir, vous retrouvez des notions qui sur le fond sont toujours les mêmes.
Je ne sais pas si en 2018, la forme est toujours la même, ces questions ont 22 ans.
Il est bon de vous rapprocher d'écoles et d'associations qui font passer le CAP.

https://restaurationlivreatroo.blogspot.com/2019/12/index-2-histoire-de-la-reliure-cap-le.html

Vous pouvez aussi trouver ce livre chez Muriel Méchin à Tours, ancien ouvrier typographe qui fait un tour complet de cet art.

https://www.unitheque.com/Livre/association_typo_d_antan/La_Touraine-65035.html

Muriel Méchin.

Ils sont une poignée, anciens imprimeurs et typographes, regroupés au sein de l'association Typographie d'antan. Un « antan » d'ailleurs pas forcément si lointain, alors que la profession d'imprimeur, qui n'avait pas fondamentalement changé en cinq siècles, a subi, ces dernières années, une mutation radicale.

Association cherche local

L'association fêtait vendredi saint Jean Porte latine, patron des imprimeurs, au petit musée de la typographie, 13, rue Albert-Thomas. L'occasion pour les anciens du métier, de se rappeler « le bon vieux temps »en échangeant des anecdotes. Par exemple sur l'irruption de l'informatique dans la profession, avec les premières retouches photographiques. Un retraité se souvient avoir effacé les nuages sur des paysages bretons pour y installer un ciel bleu beaucoup plus attirant… mais beaucoup moins naturel.
Le musée proprement dit, c'est le « bébé » de Muriel Méchin, qui, durant toute sa vie professionnelle, a collectionné documents, outils et machines en rapport avec l'imprimerie, et, une fois la retraite venue, s'est dit que ces éléments de patrimoine méritaient d'être partagés avec le plus grand nombre.
Ainsi est né, il y a trois ans, ce musée de la typographie.
Un musée bien à l'étroit dans ses murs actuels. « Mais pour nous ici, le loyer est abordable », confie Jean-Pierre Nonet, président de l'association. « Nos ressources, ce sont les ventes de gravures », ajoute Muriel Méchin. Précisons que l'entrée est libre et gratuite.
Mais l'immeuble devrait prochainement être mis en vente, et Typographie d'antan cherche une solution pour héberger le musée. « L'idéal, ce serait que la Ville de Tours propose un local beaucoup plus vaste pour abriter un grand musée multi-thèmes »,espère, sans toutefois tirer de plans sur la comète, Jean-Pierre Nonet. On a beau savoir chasser les nuages sur les photos de Bretagne, cela ne les empêche pas d'apparaître dans la vraie vie.

Musée de la typographie : 13, rue Albert-Thomas. Ouvert du lundi au samedi, de 14 h à 18 h, et le matin sur rendez-vous. Contact : 02.47.38.93.25 (aux heures des repas).
Source:
https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/musee-de-la-typographie-l-avenir-s-imprime-en-flou