samedi 14 décembre 2019

Cultiver son jardin dans le livres, le macer floridus= deviribus herbarum, et l'herbier de Dioscoride, médecin et apothicaire grec, considéré comme le père de la pharmacologie.

Un article pour comprendre la transmission des connaissances entre le premier siècle de notre ère et le moyen age ....

D'après les documents trouvés sur le net:



http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b73000775/f5.image
Source Gallica.



 http://remacle.org/bloodwolf/erudits/floridus/plantes.htm







http://blog.bnf.fr/gallica/index.php/2011/04/06/la-therapeutique-par-les-plantes-a-travers-les-ages-i/


(Source: Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Age, Volume 2)
               Histoire du développement de la biologie, Volume 1 Par H. C. D. de Wit)





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Source :  https://www.wdl.org/fr/item/10632/ 


"« De Materia Medica » de Dioscoride

Description

Ce livre est un parfait exemple du transfert des connaissances au fil des siècles. Au Ier siècle, le médecin et apothicaire grec Dioscoride , écrivit un document majeur sur la botanique et les remèdes. L'ouvrage fut traduit en arabe au Xe siècle, à l'époque d'Abd al-Rahman III (891−961), calife de Cordoue. En 1518, Antonio de Nebrija réalisa la première traduction en latin de l'ouvrage en Espagne, à l'Escuela de Traductores de Toledo (École de traducteurs de Tolède). En 1555, l'éditeur Juan Lacio (1524–1566 env.) publia à Anvers (aujourd'hui en Belgique, à cette période gouvernée par l'Espagne) une traduction du latin en espagnol par Andrés Laguna, médecin du pape Jules III. Durant ses voyages réguliers à Rome, Laguna consulta différents codex, ainsi que les livres sur les plantes médicinales produits à Venise par le botaniste Pierandrea Mattioli. Cette version du livre fut éditée et améliorée à plusieurs reprises jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, puis un exemplaire fac-similé fut produit au XIXe siècle. Dans l'édition présentée ici, Laguna inclut ses propres illustrations, des gravures réalisées sur panneaux de fibre de bois. Le livre contient au total 600 images illustrant des plantes et des animaux, dont chaque espèce est accompagnée, sur la page, de son nom en plusieurs langues. On ne dispose pas d'informations précises sur le graveur, mais comme l'édition fut imprimée en Belgique, de nombreux érudits attribuent les gravures à un artiste flamand de l'époque. D'autres pensent que le graveur était italien, en raison des fortes similitudes entre ces illustrations et celles de l'édition de Mattioli. Selon ces autorités, les planches furent réalisées en Italie, apportées à Anvers par Laguna et finalement envoyées en Espagne pour produire des copies supplémentaires de l'ouvrage. Cette précieuse édition, imprimée sur vélin, fut enluminée pour être offerte au futur roi Philippe II, alors qu'il était encore prince. "






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